
S’il y a un roman pour lequel il vaudrait la peine d’apprendre l’italien, c’est bien celui-ci : un des chefs-d'œuvre incontestés de la littérature italienne. Probablement savoir lire et savourer l’idiome de la botte ne suffirait pas ni à la compréhension ni à la jouissance complète de l’œuvre, car le lecteur devrait avoir la maîtrise, ou du moins l’intuition, du dialecte molisain, de celui de Rome Urbis, de celui des campagnes et des « Castelli...