lyon

Publié le lundi, 3 janvier 2011 à 15h12

Trois pièces italiennes au Théâtre Nouvelle Génération

Par TNG

Du 7 au 11 janvier 2011 le théâtre Nouvelle Génération de Lyon (23, rue de Bourgogne - 69257 Lyon tél. 04 72 53 15 15 ) vous propose trois spectacles en langue italienne. Dans le cadre de la 5ème édition du festival Ré-Génération trois compagnies du nord de l'Italie (Alessandria, Turin et Gênes) sont invitées. Camarades de classe (compagni di banco) se jouera le 8 janvier 2011 à 18h, Micro-théâtres pour un spectateur, en plusieurs langues le 9 janvier 2011 : de 15h à 16h et de 17h à 18h et le samedi 8 janvier 2011 de 17h à 18h et de 19h à 20h Entrée libre, sans réservation. Rosaspina est programmé pour mardi 11 janvier 2011 à 14h30 et à 19h30

Camarades de classe, Compagni di banco. L’automne s’installait lentement. Par jeu, nous avions transformé notre classe en un immense jardin. Nos disputes ponctuaient la naissance d’une forte amitié. Quand la maîtresse nous grondait, nous étions deux. Cette année-là, mes parents me dirent : “Quand l’hiver arrivera, tu devras changer d’école. Nous allons nous installer dans une autre ville...” Et la neige arriva.

Micro-théâtres pour un spectateur. La jeune turinoise Chiara Trevisan, “manipulatrice d’objets et de puces” propose deux spectacles : le premier, réalisé à l’intérieur d’une boîte magique et le second, à l’intérieur d’une boite de sécurité. La particularité de ces spectacles ? Les représentations sont données dans le hall du théâtre, mais elles ne durent que trois minutes, se déroulent dans une boîte et ne s’adressent qu’à un seul spectateur à la fois. Dans un second temps, Chiara Trevisan a mis la compagnie de puces au travail... En tant qu’ouvrières elles donnent aux spectateurs, tour à tour équipés d’un casque de protection, quelques leçons de sécurité...

Rosaspina. Une version douce et visionnaire de la Belle Au Bois Dormant... Pour parler avec la profondeur et la légèreté du conte de fée ; pour rire d’un rien et donner voix à des grandes questions ; pour surprendre et puis se laisser tomber ; pour raconter la rage, la peur et tout l’amour ; pour se faire tout petit et puis exagérer, s’amuser, ça oui ; et à la fin faire de l’ordre, l’ordre exact du cœur.
La scénographie très imaginative, l’agilité des acteurs, les jeux de marionnettes, beaucoup de drôlerie,... Autant d’ingrédients qui permettent de revisiter ce conte tout en métaphores et de toucher petits et grands

Festival Ré-Génération